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Comment recharger un briquet ? Clipper ou autre.

Recharger un briquet peut parfois paraitre plus compliqué que ça ne l’est. Dans ce court paragraphe nous vous expliquons les choses à savoir pour bien recharger votre Clipper, ou votre briquet tempête.

Pour recharger son briquet il suffit juste de connaitre quelques principes.

Il faut bien sûr ne recharger que les briquets prévus pour cela. Certains briquets (comme les BIC par exemple) ne sont pas forcément prévus pour être rechargés, ce sont des briquets jetables. Ils sont généralement moins chers que les briquets rechargeables comme les Clippers ou les briquets tempête.

Attention, certains briquets rechargeables bas de gamme, certaines copies de Clipper auront tendance à fuir rapidement et ne supportent pas beaucoup de cycles décharge/recharge. Utilisez toujours un briquet de bonne qualité, et original, pas de copie.

Veillez à n’utiliser que du gaz de bonne qualité. En effet les gaz bas de gamme peuvent contenir des microparticules, ou d’autre gaz que le butane, ce qui réduis son pouvoir d’inflammation, et la longévité de votre briquet.

Faites également attention à ce que l’embout de la bouteille de gaz soit bien adapté à l’entrée située sous le briquet. La plus part du temps ça sera le cas, les embouts étant standard. Cependant parfois certains briquets spéciaux peuvent avoir une valve plus ou moins grosse et de forme différente que celle d’un Clipper classique ou d’un briquet tempête. Si vous utilisez un embout non adapté, le gaz jaillira de la bouteille sans pouvoir entrer dans le briquet pour le recharger. Renseignez vous auprès du fabricant de briquet et de gaz en cas de doute, car recharger un briquet de cette mauvaise manière peut être dangereux du fait de l’inflammabilité du gaz et de sa température très froide qui pourrait vous brûler les mains.

Il est vivement recommandé de ne recharger votre briquet que dans une pièce très aérée, à proximité d’une fenêtre ouvert, ou mieux à l’extérieur. En effet le gaz butane est hautement inflammable et ne doit surtout pas être manipulé à proximité d’une flamme, d’une cigarette, ou de toute autre source de chaleur, de flamme, d’étincelle, ni dans un espace clos et restreint comme une pièce en intérieur où du gaz qui fuirait lors de la recharge pourrait s’accumuler et former une poche de gaz inflammable . Il est également recommandé de porter des gants de sécurité pour éviter que du gaz ne jaillisse sur vos main et ne les brûle par le froid.

Pour bien recharger votre briquet il faut qu’il soit bien vide. N’essayez pas de recharger un briquet tant qu’il fait une flamme. Cette recommandation est donnée par les fabricants de briquets eux même. C’est le première chose à savoir.

Il faut ensuite tenir votre briquet à l’envers, c’est à dire la partie d’où sort la flamme en dessous, et le pied vers le haut.

Approchez ensuite la bouteille de gaz tête vers le bas, et mettez en contacte l’embout avec la valve du briquet en appuyant fermement et en tenant la bouteille bien verticalement. Pressez pendant 3 secondes et arrêtez. Refaites le quelques secondes après, et le nombre de fois nécessaire pour que le briquet soit rempli. Vous saurez qu’il l’est quant le gaz ne pourra plus y rentrer et commencera à jaillir à l’air libre. Attention, si le gaz jailli dés le départ cela signifie que soit vous ne joignez pas l’embout et la valve correctement et sans fuite, soit que l’embout de la bouteille de gaz n’est pas le bon, ou encore que votre briquet est défectueux ou encore plein. Arrêtez alors immédiatement la recharge. Un briquet qui se rempli correctement ne laisse pas échapper de gaz pendant l’opération.

Une fois le briquet rempli correctement, si vous continuer à appuyer la bouteille sur la valve le gaz s’échappera à l’air libre. Il ne faut plus alors appuyer la bouteille sur la valve.

Attendez quelques secondes avant d’allumer votre briquet afin que le gaz échapper se soit assez dilué dans l’air et ne s’enflamme pas. Si vous êtes en intérieur n’allumer pas votre briquet et aérez la pièce.

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Comment utiliser une rouleuse slim?

Vous aimez fumer vos propres cigarettes, mais que ça ne vous amuse pas de les rouler ? Une solution existe : la rouleuse. Avec une rouleuse slim vous pourrez sans mal et rapidement rouler vos propres roulées slim. Au début on galère un peu, mais au bout de quelques essais, l’utilisation d’une rouleuse slim devient un jeu d’enfant.

Outre la facilité, quels sont les avantages à utiliser une rouleuse ?

  • 1/ Toujours bien roulée ta roulée ! Une rouleuse pour feuille slim va « standardiser » vos roulées ; en effet la machine va produire des roulées toujours du même calibre, bien tassées, sans défaut, avec un cartons bien maintenu, sans « fuite ». En fait la machine à rouler est parfaite pour les débutants, mais beaucoup y prennent goût, même parmi les « experts » du roulage tellement ça simplifie la vie.
  • 2/ Evite le gaspillage ; en effet une slim bien roulée avec une rouleuse pour feuille slim permet d’éviter d’en « mettre partout » (y compris par terre !), et de faire des roulées trop grosses avec trop de tabac. Et avec une roulée bien roulée ça se consume mieux, plus régulièrement, sans « cuillère ».
  • 3/ Economique ! Pour quelques euros, vous allez arrêtez de consommer des cigarettes industrielles (Attention les roulées restes nocives pour vous et votre entourage, le tabac qu’il soit sous forme de cigarettes roulées et industrielles est un poison violent ! Faites vous aidez pour arrêtez de fumer ). Le coût d’une roulée est bien moindre que le coût d’une cigarette industrielle, et même le coût d’une cigarette semi-industrielle que vous pouvez réaliser avec une tubeuse.

Mais comment utiliser une rouleuse pour feuilles slim ?

1/ commencez par ouvrir la rouleuse, en écartant les deux rouleaux, mettez le tabac, la quantité dépend un peu du type de tabac, et de la compacité que vous désirez avoir à la fin,

2/ mettez le carton,

3/ refermez la rouleuse en rapprochant les deux rouleaux,

4/ faites rouler les rouleaux d’avant en arrière. Il vous faudra un peu d’expérience pour savoir quand ça suffit, mais 2 ou 3 mouvements sont généralement suffisant. (Ca dépend aussi du type de tabac). Attention, plus vous effectuez de mouvement de roulage, plus vous tassez la cigarette !

5/ prenez une feuille, et glissez la dans la fente entre les deux rouleaux (sans re ouvrir les rouleaux !), avec le collant orienté vers vous et roulez avec le rouleau du bas, en faisant un mouvement des pouces du haut vers le bas pour que la feuille rentre dans l’appareil. Ne faites pas rentrer toute la feuille, mais laissez juste dépasser le collant. Léchez le collant, et à nouveau roulez, ce qui va faire rentrer le collant et… coller la feuille sur elle même,

6/ c’est prêt !

mode d'emploi rouleuse conique
Mode d’emploi rouleuse poacher

Les premières fois vous allez peut être rater votre roulée, ça demande un peu d’entraînement. C’est pour ça que certaines rouleuses, comme par exemple la Poacher vous offre un paquet de feuille avec ses rouleuses, vous pouvez rater, c’est pas grave. Au bout de quelques essais vous allez y arriver, et après clic ! clac ! en 10 secondes c’est fait. Vous ne pourrez plus vous en passer !

Nous vous recommandons la rouleuse POACHER, haut de gamme avec feuilles slim, ou bien la rouleuse RAW en plastic de chanvre, pas chère.

Et pour les feuilles slim retrouvez notre offre dans la rubrique Feuilles Slim, et la rubrique pour les toncs.

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Qu’est ce que le BHO ? Qu’est ce que la WAX ?

Le BHO, ou HBO, veut dire Butan Hash Oil. C’est un extrait de plante, resté assez longtemps inconnu en France, mais qui devient assez populaire depuis quelques temps. Qu’est ce que c’est, comment en faire ?

Le BHO est  aussi connu sous le nom de budder, honey oil, wax, shatter ou dabs. Il s’agit d’un extrait de plante très concentré, qui peut atteindre jusqu’à 80% de substance pure. Cela fait de ce produit quelque chose de très fort, ayant un action très importante, qu’il n’est pas forcément facile d’utilisation, et à déconseiller pour les personnes n’ayant pas l’habitude de consommer des concentrés aussi fort.

Comment est fabriqué le BHO ?

Le principe de fabrication est de faire passer sur les plantes séchées du gaz butane sous forme liquide. Au contacte de ce liquide très froid et hautement inflammable, les composés organiques contenus dans la plante sont « liquéfiés » et extrais. On récupère alors un mélange de gaz liquide et de BHO / WAX. Le gaz s’évapore alors petit à petit une fois à l’air libre et il reste à la fin la wax.

Il existe des dispositifs spéciaux pour fabriquer la wax, car la manipulation du gaz butane est très dangereux ; ce produit hautement inflammable, toxique et explosif ne doit pas être utilisé en intérieur, et en prenant de grandes précaution. En tout état de cause cette manipulation ne doit pas être effectuée par des gens n’en ayant pas l’habitude. Une simple étincelle qu’elle soit électrique ou même d’électricité statique peut enflammer le gaz et transformer l’expérience en une explosion mortelle.

Nous déconseillons fortement la fabrication de ce genre de concentrés qui outre le fait qu’ils peuvent être nocifs et dangereux pour la santé, feront prendre de grands risques aux personnes et aux biens.

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Qu’est ce que le DAB, qu’est ce qu’un DABBER ?

Un dabber est un accessoire pour fumer des produits concentrés, comme la WAX ou le BHO. Ces concentrés sont vaporisés par une forte et rapide augmentation de la température grâce a un briquet ou un outil métallique*.

Il s’agit généralement d’une pipe en verre, mais certaines pipes à eaux peuvent posséder un dispositif permettant de « dabber » comme un foyer spécial par exemple.

Sur les pipe en verre comme celle que nous proposons ici, on trouve une partie appelé « clou » sur lequel on dépose le produit à vaporiser, une cloche (demi sphère) qui permet de « capturer » la vapeur et de laisser passer l’air qui entre quand on aspire.

Il existe beaucoup de dispositifs permettant de dabber depuis des pipes en verre simple ou complexe, au modèles à chauffage électrique.

* On appel aussi dabber l’outil en métal que l’on chauffe avec un briquet tempête et qu’on applique sur la partie où l’on dépose le concentré.

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Comment nettoyer un grinder ?

Les grinders recoltent plein de parties … colantes, et… poudreuses, qui finissent par l’encrasser. A force, ça peut finir par gêner le grindage, le rendre moins efficace, voir même bloquer le grinder.

Alors comment nettoyer votre grinder ?

Tout d’abord comme pour les bong, plus vous allez attendre pour nettoyer le grinder, plus le matériel végétal va s’accumuler et devenir dur et sec, et plus il sera difficile de l’enlever.

On pourrait tout de suite penser qu’avec un bon produit vaisselle tout va s’en aller. Ce n’est pas du tout évident, car ce type de produit est assez efficace sur des objets qui sont salent mais en surface comme les assiettes par exemple. Dans un grinder les pollens ont tendance à s’accumuler et créer des couches épaisses, notamment au niveau de la grille de filtration qui finie par se boucher, en formant une espèce de « béton armé », aussi appelé « chichon armé ». Dans une eau très chaude avec un produit bien abrasif, comme les lessives de machine à lavée, on obtiendra un résultat partiel.

Certains utilisateurs conseillent de faire tremper le grinder dans du lait tiède. En effet le lait est un corps gras et il est sensé se mélanger aux corps gras contenus dans les résidus des grinders. Cette méthode est partiellement efficace, et fonctionnera pour un grinder peu encrassé. Sur des résidus bien secs il faudrait utiliser du lait bouillant et laisser « mariner » un bon moment. Cependant c’est une méthode.

Des produits assez efficaces ont été développés, notamment par la marque allemande Black Leaf, avec le Grinder Cleaner à base d’alcool qui va dissoudre assez efficacement les résidus collants. Ce produit, contrairement à ceux dont nous venons de parler, a été spécialement conçu pour nettoyer les grinders, et on peut donc penser qu’il a une efficacité supérieure aux méthodes déjà cités.

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Pourquoi on ne trouve plus de feuilles à rouler avec des goûts, colorées, transparentes (« cristal ») ou en or ?

Il est devenu très difficile de trouver ce genre de feuilles à rouler spéciales en France depuis quelques années.

En effet depuis 2017 et la loi sur les paquets neutres de tabac (où on ne vois plus la marque sur le paquet, mais des photos de gens malades) ces feuilles sont en effet interdites totalement en France, que ce soit en magasin comme sur internet. Pourquoi ? Car ces feuilles « fun » étaient sensées inciter à fumer. Cependant les feuilles longues classiques elles sont toujours autorisées.

Certains magasins (street shop et même bureaux de tabac), et sites internet en vendent encore, mais ils les font illégalement. S’ils vous disent le contraire c’est que soit ils ne sont pas au courant de la loi, soit ils font semblant.

Chez Natural Mystic, nous avons arrêté de vendre toutes ces feuilles depuis 2017.

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Comment réparer un bang ?

Les bangs, qu’ils soient en acrylique (plastique) ou en verre peuvent casser, à cause d’un choc, principalement, voir d’un grand choque thermique parfois. Il peuvent aussi fuir, notamment ceux avec un fond et un pied en plastique.

Certaine réparations sont possibles sur les bangs en acrylique. On peut utiliser par exemple un « pistolet » et une cartouches de silicone translucide utilisés contre les fuites, ou pour fixer les meubles, bac de douche dans les salles de bain ou les éviers dans les cuisine qu’on peut trouver en magasin de bricolage.

Pour les bangs en verre il est assez compliqué de faire des réparations. En effet le verre ne va pas se fendre comme ça peut se produire sur un bong acrylique, il va simplement casser. Recoller du verre est possible mais ça va devenir compliqué si vous avez cassé le bangs en plein de morceaux. Si vous avez cassé le plongeur ou la cuve, nous vous conseillons de changer ces pièces que vous pourrez trouver dans la partie « Accessoires ».

Quoi qu’il en soit nous vous déconseillons de coller les parties qui sont amenées à chauffer (comme les cuves, ou les base de plongeurs) et les parties en contact avec l’eau, ou la bouche.

Plus un bong en acrylique vieilli, plus la résistance du matériaux diminue. Les parois peuvent devenir poreuses voir cassantes. Vous devriez penser à bien entretenir votre bang acrylique avec des produits comme le limpuro, (ou si votre bong est en verre le bong shine.) Voir la partie « Comment nettoyer son bang ? »

Pour éviter d’avoir à réparer votre bang, pensez à le ranger, notamment les bangs en verre après utilisation et évitez de les déplacer sans leur boite ou une protection.

Plus un bang est en verre épais, comme par exemple les modèles Boost, Grace Glass Dragon, Zombie Chaser, plus il est résistant.

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Comment changer la pierre de son briquet ?

Votre briquet CLIPPER ne fait plus d’étincelle ? C’est peut être le signe qu’il est temps de changer la pierre tout simplement.

Comment faire ? C’est tout simple !

1 DETACHEZ LA COLONNE du briquet en tirant dessus

retirer la colonne
Détacher la colonne

 

2 AVEC UN PINCE (bon beaucoup de gens le font avec les dents 😉 ) dévissez la partie blanche au bout de la colonne, et sortez le ressort.

devisser le bout de la colonne
Dévissez la colonne

 

ressort de la colonne
Tirer pour sortir le ressort

enlever le ressort
Retirez le ressort

 

3 RETIRER LA PIERRE restant, au besoin en tapant un peu la colonne sur la table

pierre
Colonne dévissée

 

4 METTRE UNE NOUVELLE PIERRE

pierre dans la colonne
Remettre une pierre neuve

 

5 REMETTEZ LE RESSORT et la partie blanche, puis revissez

devisser le bout de la colonne
Revissez la colonne

 

6 REPLACER LA COLONNE dans le briquet : attention ! il y a un sens : c’est le côté avec le petit rebord en dessous de la molette vers l’intérieur du briquet.

petit rebord de la colonne
Attention le petit rebord !

 

7 ET VOILA, c’est reparti !

flamme clipper
Re marche !

 

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Comment choisir un bang ?

Il existe sur le marché des milliers de bangs. On peut les classer en plusieurs grands types pour pouvoir faire un choix en fonction de l’utilisation que vous allez en faire : maison, ballade, teuf, tout les jours une fois de temps en temps etc …

Les différents matériaux

Le plastique / acrylique

Le bang traditionnel comme on se l’imagine souvent, est majoritairement fait en une sorte de plastique : l’acrylique.

C’est un matériaux qui a beaucoup d’avantages : pour le fabricant il est peu cher, facile transformer, permet d’être moulé et travaillé dans toutes les formes. Pour l’utilisateur, il est souvent économique, (bien qu’il existe différentes sortes et qualité d’acrylique ce qui joue sur le prix), léger, résistant, coloré, transparent. Il en existe de toutes les tailles depuis le minibangs de quelques centimètres seulement, les petits, les moyens, les grands voir très grands de plus d’un mètre !

Ils peuvent être tout simple et droit, ou être muni d’un « twist icebang » comme le modèle « retro old school » (voir aussi « Qu’est ce qu’un icebong?« ) , avec un réservoir en forme de boule, ce qui permet à la fumé de s’adoucir plus que dans un simple, ou de multiboules, des extensions comme un pré-cooler… pour refroidir la fumée (voir « Qu’est ce qu’un percolateur?« )…

Parfois munis d’une pièce buccale en haut du tube pour un contact plus doux avec le plastique, d’un pied en plastique dur, ou en caoutchouc souple, suivant le niveau de qualité (voir « les pieds de bong ») (vois plus bas le paragraphe « les différentes partie d’un bong »)

Certains plastiques sont fins (1mm ou 2) alors que d’autres seront plus épais et plus résistant. Leur déco peuvent minimaliste, voir inexistant (bang tube droit transparent par exemple) alors que d’autre auront une ou plusieurs couleurs comme le bang rasta.

Le principal défaut du bang acrylique et que dans le temps le plastique pourra devenir plus ou moins poreux, se fendiller et s’encrasser en profondeur. Le goût de ce que vous fumez peut être altéré par le plastique, ce qui n’arrivera pas avec le verre.

A noter aussi l’existence de bang en silicone. Ils sont incassables et souples. Le modèle que nous vous proposons actuellement à le fond qui se détache pour un nettoyage simplifié !

Les bangs en verre.

Les bang en verre peuvent etre tout simple, mais ce sont souvent des pièces de collection, fabriqués par des souffleurs de verre. Il existe une grande diversité de bang en verre, avec des ice bongs comme pour ceux  en plastique. Cependant les percolateurs sont vraiment l’apanage des modèles en verre. Ces dispositifs vous assurerons un refroidissement et un « nettoyage » des fumées. (pour plus d’infos, voir « Qu’est ce qu’un perco ?« ). Les verres peuvent fins pour les modèles économiques, jusqu’à 7 voir 9 mm pour les modèles haut de gamme comme certain Black Leaf.

On trouve des formes là aussi basique depuis la petite pipe rasta toute simple jusqu’au grand bang en plusieurs parties, en passant par des trucs bizarres

Le verre s’il est bien entretenu (voir « comment nettoyer son bang« ) ne prendra pas de goût et ne s’altèrera pas dans le temps, il ne changera pas le goût. Ce sont plutôt des bangs pour la maison, car ils restent plus fragiles que les bangs en acrylique.

Les bangs en bois / bambou

Bangs vraiment basique, le banque en bambou n’est pas forcement celui que nous vous recommanderions. Outre le fait que le bambou fini systématiquement par se fendre car il ne résiste pas à l’eau, (c’est un matériaux « vivant »), il capte les fumées, les saleté, goudrons et même entretenu finira pas avoir une odeur et un goût assez déplorable. C’est une peu le bong artisanal « old school », « à la barbare » que l’on fabrique sois même en allant « cueillir » des bambous dans le jardin du voisin ou de la ville. On en trouve dans certains magasins, mais bon, on va dire que c’est plutôt de la déco ou du souvenir avec « Amsterdam » marqué dessus.

Autres matériaux

On peut trouver de très jolis bongs en pate de verre, assez résistant mais dans lesquels on ne voit pas le niveau d’eau. Pareil pour certains modèle en céramiques ou porcelaine, assez rares de nos jours.

La taille

La taille joue autant que le choix du matériaux. En effet si les grands bongs, notamment en verre sont magnifiques et attractifs, il faut se souvenir que plus il est grand plus un bang demande d’importantes capacité pulmonaires. Et ne pas arriver à tirer le bang en une seule fois amène souvent à devoir reprendre son souffle, et avoir une deuxième fumée, moins bonne et moins agréable qui se mélange à la première.

A contrario un petit bong, voir trop petit, outre le fait qu’il sera difficile de placer la bouche sur un embout tout petit, vous fera absorber une fumée très chaude et très concentrée très rapidement. Ca peut être assez « hard » à utiliser.

Bref choisissez en fonction de vos capacités, de vos envies, de votre manière du fumer (« à la barbare », en coulant la douille en une seule fois, typiquement français, ou « à la cool » en plusieurs fois, doucement en injectant de l’air par la prise d’air ou le soulèvement de la douille, comme dans le reste du monde…). Et puis pour quel usage ? une fois de temps à autre, souvent, très souvent, trop souvent ? En teuf ? A la casa ? …

Les différentes parties d’un bang

Le tube

C’est là où on met l’eau, c’est évident. Il peut être droit, penché, large, étroit, avec un réservoir en boule, ou une autre forme. S’il est penché il sera plus facile de tirer dessus. S’il a un réserve d’eau, la fumée sera plus refroidie que dans un tube simple.

Le pied

C’est la base du bong. Il peut être plus ou moins large, en différents matériaux. On vous à fait un article rien que pour ça ici !

Le plongeur et la douille

Parties qui permettent de brûler le tabac et d’amener la fumée dans le tube pour qu’elle se refroidisse dans l’eau. Là aussi vous avez un article tout prêt !

Les accessoires

Faut un perco ou non ? un prec cooler ou non ?  Ces petits détails vont jouer sur la qualité de la fumée, et la facilité d’utilisation du bang.

Retrouvez des infos sur les articles du blog : « Qu’est ce qu’un icebang?« , « Qu’est-ce qu’un perco? »

La prise d’air : beaucoup de bangs sont muni d’un trou dans le tube, qui peut être lui même muni d’un bouchon en caoutchouc. Ce trou permet de laisser passer de l’air, c’est une prise d’air, pour absorber les restant de fumée.

prise d'air sur bong verre
Prise d’air sur un bang en verre

prise d'air sur bong acrylique
Prise d’air sur un bong en acrylique

La pièce buccale sur certains bangs en acrylique permet d’avoir une contact avec la bouche plus doux et plus hermétique que directement avec le plastique du bang.

piece bucale
Pièce buccale en pièce détachée

piece buccale sur bong acrylique
Bong muni d’une pièce buccale

Le budget

Les bangs c’est comme tout ça part de quelques euros, à pas de limite. En gros un bang acrylique c’est entre 10 et 50 euros, un bang en verre entre 10-15 euros pour les basiques et 100,200 euros pour les haut de gamme en plusieurs parties. Ces prix ne veulent pas dire grands chose car il dépendent du vendeur, de la qualité etc… Mais le verre est plus cher que le plastique, un gros bang est plus cher qu’un petit, mais ça c’est évident vous le saviez déjà.

Conclusion

Le choix d’un bang dépend donc de ces principaux facteurs :

  • de votre budget
  • de la fréquence d’utilisation
  • de l’endroit où vous allez l’utiliser
  • si votre bang n°1, n°2, n°3 etc (bang « perso perso », ou bang des amis…)
  • de votre capacité pulmonaire
  • de la durée de vie que vous souhaitez

Voilà on espère qu’on aura pu vous aider un peu, rappelez vous que fumer est mauvais pour la santé, et que nous vous recommandons d’arrêter de fumer. Pour cela reportez vous ici.

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Les pieds de bong

Pour les bangs acrylique, il existe deux grandes catégories de pieds de bong.

Matériaux

On trouve des pieds en plastique ou en caoutchouc

Les pieds en plastique dur

Constitué d’un pieds en plastique dur pour maintenir le bang droit, et d’un « bouchon » d’étanchéité en plastique blanc qui vient directement se placer sur le tube du bong. Le tout doit ensuite être enfoncé dans la partie plastique dur.

Nos bangs avec ce genre de pied sont vendus déjà montés. Si jamais vous défaites le pied pour nettoyer le bang, suivant la catégorie des bangs, le remontage est parfois difficile, car la capuchon d’étanchéité peut avoir un diamètre très proche de celui du pied plastique. Il faut parfois appuyer fort. Au fur et à mesure des montages-démontages, la partie en plastique blanc peut se fendre et demandera à être remplacée.

Ce genre de pied se retrouve habituellement sur les bangs à prix modérés. Ils sont propres et beaux, et le pied lui même est solide. Ils sont cependant légers.

les deux parties du pied de bang de base
Le pied et le capuchon

 

pied de bang plastique
Capuchon d’étanchéité placé sur le bang

Les pieds en caoutchouc

Ces pieds sont montés sur les bang plus haut de gamme, notamment chez Black Leaf, et sont plus pratiques. En une seule partie ils n’ont pas besoin de bouchon d’étanchéité, car le caoutchouc est souple et empêche les fuites. Le caoutchouc a souvent un look moins « propre » que les pieds en plastiques, cependant ils sont plus lourds et assure une meilleur stabilité du bong. Ils ne casse pas, ne se fende pas contrairement au bouchon d’étanchéité des pieds durs.

pied de bang caoutchouc 50 mm
Pied souple en caoutchouc

Pour les mettre en place on enfonce simplement le tube du bong dans le pied. Cela peut parfois produire de petites coupes de caoutchouc la première fois, sans conséquence sur l’étanchéité.

pied caoutchouc sur bang
Pied caoutchouc sur bang

Il est muni généralement d’une structure anti dérapante en dessous.

structure anti derapante
Dessous anti dérapant exemple

 

anti derapant
Dessous anti dérapant exemple

Tailles

Suivant la taille des tubes des bangs on trouve différentes taille de pieds. Les diamètres de tube standards sont de 40, 50 et 60 mm.

Les bouchons d’étanchéité se trouvent habituellement en 40 et 50 mm, les pieds durs en 40 et 50 également.

Les pieds en caoutchouc souple en 40-50 et 60 mm

3 tailles de pied de bong
Exemple de tailles de pied de bang

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