Pas facile de s’y retrouver dans les pièces détachées pour bong …
Les plus simples ce sont les plongeurs et les douilles. La douille, ou foyer, est la partie du bong qui accueil la substance que l’on veux fumer.
Les plongeurs
Le plongeur est la partie qui « plonge » dans l’eau de la pipe et qui permet de conduire la fumée dans la pipe et de la faire barboter dans l’eau, avant qu’elle ne continue son chemin et soit absorbée. Il peut être soit en verre soit en métal, droit ou parfois courbé (pour ceux en métal uniquement).
Sur les bongs en acrylique on trouve des plongeurs en métal. Ils sont toujours constitués en 3 parties : la cuve, le plongeur et un anneau de raccord entre les deux. (parfois l’anneau est intégré sur le plongeur, donc non dévissable du plongeur, sur le modèle économiques) Toutes ces pièces on des pas de vis standard et 99% des cuves en métal peuvent aller sur les tout les plongeurs en métal. A noter qu’on peut à présent mettre des cuves en verre sur des plongeurs en métal par l’intermédiaire d’un adaptateur.
Pour les bangs en verre, les plongeurs et les cuves sont en verre.
Il existe les « plongeurs-douille » en une seule partie, ou « plongeur simple », principalement pour les petite pipe à eau.
Mais dans la plus part des bangs haut de gamme on trouve des « plongeurs-séparés »; la douille et le plongeur sont séparés. Une partie grise à la base de la cuve et sur le plongeur assure l’étanchéité ; c’est ce qu’on appel le rodage, ou verre dépoli. Le verre a été abrasé, et rendu légèrement rugueux. Ainsi deux pièces de même diamètre qui sont rodées s’imbriquent parfaitement l’une dans l’autre.
Il existe deux diamètres principaux de rodage, la 14 mm et le 19 mm (aussi appelé 18 mm, car le diamètre exacte est de 18,8mm).
On rencontre aussi parfois un diamètre de 2 mm, assez rare, sur des gros bongs :
et ce sont les plongeurs et non les douilles qui sont de cette taille, sur l’extérieur, l’intérieur étant alors habituellement en 19 mm :
C’est pour ça que si vous cherchez un plongeur ou une douilles en verre, le vendeur vous demandera quelle diamètre. Une douille de 14 ne pourra pas aller directement sur un plongeur de 19. (mais on pourra se servir d’un adaptateur)
Les plongeurs ont deux rodages ; un extérieur pour assurer l’étanchéité avec le bang, et un interne pour assurer l’étanchéité avec la douille.
Pour bien choisir son plongeur il faut donc connaître les rodages externe et interne. Ce sont généralement les même, mais il existe des plongeurs avec du 19 à l’extérieur et du 14 à l’intérieur. Et en plus il faudra savoir la longueur du plongeur . Trop court il ne plongera pas assez ou pas du tout dans l’eau, trop long il touchera le fond…
Si vous le cassez essayer de garder les morceaux pour les apporter au magasin, si vous n’avez pas noté les caractéristiques avant.
Une autre caractéristique des plongeurs en verre est que le bout qui plonge dans l’eau peut etre différent suivant les modèles : simple, à fente, ou à tours. Le tirage ne sera alors pas le même, et l’utilisation du bang non plus ; pas question de « couler » la douille avec un plongeur à trous.
Les douilles
Douilles, foyer, cuve, c’est la même chose. Ils peuvent être en verre, en alu, en acier, en bois, ou en pierre. Petit, moyen, grand, a fond plat, en cône, avec petit trou, grand trou, on trouve plein de cuves différentes. Pour plante, pour huile..
Les douilles en verre
Les douilles verre doivent d’abord être choisies en fonction du rodage, puis en fonction de la taille et ce qu’elles peuvent contenir. Leur look peut être aussi important. Pour donner un look plus cool à un bong un peu triste et en faire un bang stylé, ou pour mieux pour le rendre encore plus beau avec une cuve artisanale.
Ci dessous des cuves coniques classiques, plus ou moins larges
Ci dessous un exemple de cuves faite à la main en pâte de verre.
La taille du trou aussi importe beaucoup. En France la demande se fait généralement sur des douilles à trou petit à moyen, pour pouvoir mettre le tabac directement sans grille, et ainsi pouvoir « couler » en une seule fois facilement. Pratique barbare spécifique à la France…
Ci dessous cuve à double fond et petit trou
A l’étranger (USA, Allemagne etc…) les habitudes sont différentes et les gens préfèrent fumer calmement dans la longueur, en plusieurs aspirations, en soulevant la cuve grâce à une petite poignée, pour faire passer de l’air.
Ils utilisent donc des cuves à trou moyen voir large et y place une grille au fond.
Certaines douille ont un fond sans trou unique mais plat avec plusieurs petites fentes, qui s’utilise pour d’autre type de tabacs.
Certaines douilles en verre s’appelles des « ash catcher » : attrapeur de cendres : leur forme permet de retenir les cendres et évitent une bonne partie des salissures dans le bang, et permet un premier refroidissement de la fumée. On peut y mettre de l’eau. On trouve ces cuves « de série » sur certains type de bang comme les « Fly » de chez Black Leaf.
Les douilles en métal
Sur les cuves en métal le pas de vis ne change pas c’est toujours le même. Seul peuvent changer la taille de la cuve, sa forme et sont trou. On trouve des cuves en entonnoir, en bol, plat. LE choix dépendra de votre façon de fumer (doucement ou en faisant « tomber » la cuve), et votre « appétit », et votre type de tabac.
Dispositifs spéciaux
On trouve parfois sur certains bangs acrylique haut de gamme comme le Black Leaf série BL un dispositif sur la douille : le lift off.
Il s’agit d’un embout qui se place sur le plongeur à la place de la bague habituelle, et d’un anneau qui se vis sur la douille. L’anneau et la douille viennent ensuite s’assembler sans vis par simple contact. Plus besoin de visser et dévisser votre douille, il suffit de la faire « décoller » (lift off !) d’un simple geste.
Vous avez peut être déjà remarqué sur certains bangs en verre 3 petites pointes qui rentrent dans la colonne du bang :
Qu’est ce que c’est ?… C’est tout simple ; comme son nom l’indique cette chose à a voir avec la glace : en fait ces 3 pointes vous permette de laisser glisser (doucement !) des glaçons dans la colonne du bang. Votre fumée va ainsi être rafraichie, et sera plus douce.
Comme on peut le voir sur cette photo, les 3 pointes forment une plateforme pour retenir les glaçons, c’est tout simple mais il fallait y penser !
Les ice bang ne se retrouve jusqu’à présent que sur certains bangs en verre. Ils sont plus rare sur les bangs acrylique ; à ce moment là ce sont principalement des « twist » : le tube est chauffé et « twisté » comme par exemple dans les modèles ci dessous.
On peut aussi rarement les trouver sous forme de plateforme avec trous comme le « Bong Bullet Gold«
Comme pour les percolateurs, pour leur entretien (voir notre article dédié) nous recommandons les produits et brosses que vous pourrez trouver sur le site comme le limpuro pour les parties en acrylique, et le shine bong pour les partie en verre.
Votre smokeshop Natural Mystic vous propose des bangs « à perco », ainsi que des percolateurs en pièces détachées ; mais en fait :
C’est quoi un perco ?
Un percolateur, c’est un dispositif que l’on trouve dans certains bangs en verre, ou séparément. Ils sont en verre, et souvent de formes diverses ; tubes, dôme, bras verticaux ou horizontaux, percés, troués, fendus, simple multiples. Mais leur principe reste toujours le même : refroidir et adoucir la fumée.
Comment ça marche ?
Le principe c’est en gros d’allonger le parcours de la fumée dans le bong, et d’augmenter le mélange air/fumée. En faisant ça, la fumée à plus de temps pour se refroidir. Elle arrive donc dans votre gorge plus fraiche, et plus diluée. Elle est donc moins agressive.
Il existe beaucoup de formes de perco différentes. Certains sont déjà dans le bang. De plus en plus de marques fournissent des bang à perco intégré : Black Leaf, Blaze, Grace Glass.
Dans le schéma en dessous la fumée (en rouge) arrive de la partie inférieure du bang, elle remonte dans la colonne de percolation, arrive au dôme puis redescend par les bras, et enfin sort par les trous et les fentes de ces bras.
Quels sont les différents modèles de percolateurs ?
Les perco intégrés
Il sont toujours en verre (on trouve très rarement des bongs en acryliques avec des percos intégrés). Ceux intégrés au bangs peuvent être horizontaux, comme sur le bang Nautilus de chez Black Leaf ; il s’agit d’un tube de verre dans lequel ont été percés des fentes en dessous, en plus ou moins grand nombre, et par lesquelles la fumée passe tou en faisant bouillonner l’eau :
Petite démo en réel à partir d’une video du net :
D’autres sont de petits dômes, dans les quels la fumée monte par une petite colonne centrale, et redescend ensuite pour passer par des fente dans le dôme. Ces dômes font aussi office de dispositif anti refoulement de l’eau dans les petits bongs comme le « chouette bong » : dans ces petites pipes si on aspire fort, l’eau peut avoir tendance à remonter la colonne et il peut arriver jusqu’à la bouche ; avec ce dispositif elle est arrêtée et repars dans la cuve.
Un autre grand classique c’est le perco à bras : une tube au centre permet la montée de la fumée qui arrive dans un petit dôme qui la redistribue dans des bras qui redescendent. On trouve des perco à 3, 5, 8, 10 bras ou plus.
En fin de comptes, toutes les formes sont imaginables, comme dans ce perco boule, au fentes en biais qui forme un tourbillon de fumée…
On trouve aussi des perco sous forme de « nid d’abeilles » ; une sorte de plateforme horizontale percée de plein de petits trous au milieu du bang. Quand on aspire la fumée, elle se divise et passe par tout ces trous, ce qui forme plein de petits filets de fumée ; c’est esthétiquement superbe (voir ci dessous)
Certains bang ont un perco, deux perco, voir 3 ou 4 pour les plus grands. Et ils sont souvent surmontés d’un ice bang.
Les bangs avec percolateur sont souvent plus chers que les bangs simple, car ils sont fabriqués manuellement, et demande le travail d’un technicien verrier. Aucune machine n’est capable de fabriquer automatiquement toute cette verrerie.
Les perso en pièces détachées
Il sont eux aussi en verre, et uniquement en verre. Ils reprennent les caractéristiques des perco intégrés ; dôme, bras, nid d’abeille, mais ils sont contenus dans une petite bouteille qui viennent se placer sur le plongeur, à la place de la cuve. Il existe donc des modèles fait pour des plongeurs de 14 ou de 19 mm.
Une fonction supplémentaire des perco séparés, c’est que l’on peut y mettre de l’eau, ce qui est souvent impossible avec ceux qui sont intégrés au bang, car si non l’eau coule dans le réservoir du dessous. L’eau augmente encore l’effet de refroidissement, mais en plus fait fonction de filtre ; les plus grosses impuretés se déposent dans ce premier bain, avant même d’aller dans le bang lui même et du coup l’eau du bang et le bang lui même restent plus propre. Certains perco séparés sont vendus avec une cuve, et d’autre pas. Certaines cuves ont un plongeur, d’autre pas.
Les bangs avec perco sont souvent difficiles à entretenir, car on ne peut pas y faire passer une brosse. Les réservoirs de ces bangs sont quasiment inateignables, car les perco « ferment » l’accès. Il est donc indispensable d’utiliser des produits d’entretien du type Limpuro ou Bio Cleaner.
Le mieux et de posséder une bassine de la taille du bong, et de le laisser tremper à l’horizontal avec le produit, ainsi tout le bong sera nettoyer. (Voir l’article « Comment nettoyer son bong« )
Pour les perco détachés, on utilise les même produits, mais pas besoin d’une grande bassine.
Conclusions
Les percolateurs sont des accessoires qui rende le plaisir de fumer plus doux, on les trouve directement dans beaucoup de bangs en verre, ou en pièce détachés. Il demande un entretiens particulier, et dont fragiles, mais ça rend la fumée plus fraiche, plus belle. A essayer !
Si vous aimez fumer des roulées bien faites, sans pli, bien droites, bien belles, mais que n’avez pas envie ou que vous ne pouvez pas rouler, pour une raison ou pour une autre, il existe des solutions !
Remplir un cône pré roulé
Plusieurs marques proposent des cônes déjà roulés en plusieurs tailles. (voir notre gamme cônes JWare petit, moyen, grand). C’est pratique, on peut les préparer à l’avance, et les transporter avec soi.
Mais comment les remplir ?
1/ Commencez par émietter un peu de tabac à la main dans le cône
2/ Tassez de temps à autres, au fur et à mesure que vous remplissez avec le tabac, grâce au petit tasseur qui est fourni avec les cônes (JWare) ou avec un petit bâton. Attention allez doucement pour ne pas déchirer le cône !
3/ Renouvelez ces deux opérations : remplissage et tassage jusqu’à ce que le cône soit rempli.
4/ Enjoy !
Retrouvez notre gamme de cônes préroulés
Nous proposons des cônes pré roulés de différentes tailles, depuis la taille slim classique au méga géant de 60 cm, en feuilles blanchies ou non blanchies.
Très pratique pour fabriquer des roulées coniques, slim.
1/ commencez par ouvrir la rouleuse, en écartant les deux rouleaux,
mettez le tabac, la quantité dépend un peu du type de tabac, et de la compacité que vous désirez avoir à la fin,
2/ mettez le carton,
3/ refermez la rouleuse en rapprochant les deux rouleaux,
4/ faites rouler les rouleaux d’avant en arrière. Il vous faudra un peu d’expérience pour savoir quand ça suffit, mais 2 ou 3 mouvements sont généralement suffisant. (Ca dépend aussi du type de tabac),
5/ prenez une feuille, et glissez la dans la fente entre les deux rouleaux (sans re ouvrir les rouleaux !), avec le collant orienté vers vous,
roulez avec le rouleau du bas, en faisant un mouvement des pouces du haut vers le bas pour que la feuille rentre dans l’appareil. Ne faites pas rentrer toute la feuille, mais laissez juste dépasser le collant,
léchez le collant,
à nouveau roulez, ce qui va faire rentrer le collant et… coller la feuille sur elle même,
6/ c’est prêt !
Les premières fois vous allez peut être rater votre roulée, ça demande un peu d’entraînement. C’est pour ça que Poacher vous offre un paquet de feuille avec ses rouleuses, vous pouvez rater, c’est pas grave. Au bout de quelques essais vous allez y arriver, et après clic ! clac ! en 10 secondes c’est fait. Vous ne pourrez plus vous en passer !
Il existe plein de types de feuilles, de formats différents, d’épaisseurs, de qualités. Pour s’y retrouver dans la « jungle des feuilles » nous vous proposons un petit guide explicatif :
Précision sur la législation française des feuilles à rouler.
Beaucoup de gens nous demande des feuilles comme les blunts, les feuilles transparentes, les feuilles avec goût, les feuilles colorées etc…
La France a une législation très particulière et très restrictive concernant tout ce qui touche au tabac et a ses produits dérivés au sein de l’Europe. Pour des raisons de santé publique, la lois a évoluée ces dernières années, et des restrictions ont vu le jour suite à la règlementation sur les paquets de tabac « neutres ». Pour « protéger » la santé des consommateurs un certains nombre de feuilles « fun » ont été purement et simplement interdites dans notre pays. Ainsi, nous avons à présent le droit de vendre que les feuilles blanchies et non blanchies (pour combien de temps encore ?…), mais les feuilles colorées, décorées, parfumées, transparentes, en or, sont totalement interdites depuis le 1 janvier 2017. Nous ne pouvons donc plus les vendre que ce soit sur le net ou en boutique.
Concernant les blunts, ces « feuilles » en tabac, pur ou mélangé, ils ne sont pas interdits, mais, relevant de la catégorie « produits dérivés du tabac » ils ne peuvent être vendus légalement que par les bureaux de tabac.
Malgré cela, il existe des magasins qui vendent illégalement ces produits. Ce n’est pas notre cas. Nous ne proposons donc aucun blunt d’aucune sorte.
De plus les feuilles ne peuvent être vendues aux mineurs.
Les différents types de feuilles.
Avec la disparition du marcher français des feuilles « fantaisie » (colorées, parfumées etc) on ne trouve actuellement plus que deux types de papier : les feuilles blanches traditionnelles, et les feuilles marron, non traitées, dites « non blanchies ». Ce feuilles n’ont en fait pas subies de traitement chloré pour les rendre blanches et ont donc une couleur naturellement marron, ce n’est pas une coloration de la feuille. Ces papiers à rouler ont été inventés par RAW (qui en anglais veut dire « cru, non transformé, non traité » qui est aussi le fabricant des feuilles ELEMENTS et JUICY JAYS. (retrouvez un petit historique de la création de ces feuilles dans les fiches produits RAW comme par exemple ici)
Les feuilles peuvent être soit fabriquées avec de la paille de riz, traditionnellement, soit à base de chanvre. Ces dernières sont réputées plus naturelle que les autres (pourquoi ?…) et sont souvent légèrement plus épaisses et donc plus blanches que les feuille de riz. On trouve aussi des fibres d’acacia dans certaines feuilles.
Certaines feuilles, principalement les RAW et les ELEMENTS ont une sorte de filigrane à leur surface, un quadrillage, qui permet à la feuille de se consumer d’une manière plus régulière et d’éviter que la cigarette ne fasse des « cuillères ».
Au départ les feuilles étaient « non gommées » c’est à dire sans collant. (on trouve toujours des fabricants qui proposent des feuilles sans collant, comme JOB). Cependant la bande collante est quand même bien pratique ! Différents types de collants sont utilisés ; la gomme arabique est la plus utilisée. Certaines marque comme RAW et ELEMENTS ont eux développés une colle à base de sucre. Cette colle en brûlant dégagerait des composés addictifs ( l’acétaldéhyde ). Certains déconseillent donc d’utiliser ces papiers à rouler. Cependant il faut se souvenir que plus que la colle, ce qui est nocif c’est le tabac, et que vous utilisiez de papiers avec de la gomme arabique ou au sucre, ça n’a pas vraiment d’importance, le tabac vous tueras de la même manière…
Les différents types de paquets de feuilles
On trouve des « carnets » de feuilles (appellation traditionnelle pour dire « paquet »), on trouve des rouleau de feuilles. Depuis quelques années on trouve certains paquets, même parfois des rouleaux (chez ZIGGI par exemple) avec des cartons intégrés. (Peut être cela sera t il interdit en France prochainement…) Certains paquets sont décorés et font l’objet de collection chez les fumeurs. Certaines marques (SNAIL par exemple) se sont spécialisées dans la sortie de « collections » et autres éditions limités. (A vite se procurer, avant que ces paquets « fun » ne soient eux aussi interdits en France, et remplacés par le paquet unique à poumons de cancéreux qui devrait logiquement vite être mis en place…)
Traditionnellement les carnets de feuilles contiennent 32 feuilles. Mais on trouve à présent des carnets de 64 feuilles (feuille IRIE), 50 feuilles (RAW 1 1/4) ou de 100 (OCB premium…)
Enfin on trouve de plus en plus de marques qui proposent un petit « plateau à rouler » ou « bol a mix » intégré dans le paquet. La marque slovène ZIGGI, créée dans les années 2000, a inventé ce concept, et propose aussi des paquets à collectionner.
Parfois ces paquets se ferment avec de petits aimants (ELEMENTS 1/ 1/4).
Les différentes tailles des feuilles en carnet.
Le choix de feuilles en « carnet » (paquet de feuilles) à beaucoup évolué depuis 20 ans. Avant on ne pouvait trouver que des feuilles de petit format. Mais de nos jours on a tendance à ne plus s’y retrouver tellement il y a de tailles de feuilles, depuis les petites jusqu’a des feuilles de 30 cm, sans compter les rolls de plusieurs mètres. Sans doute un jour notre pays interdira toutes les grandes feuilles pour ne laisser subsister que les petites, avec des paquets tous « décorés » avec des poumons cancéreux dessus. Car il faut le rappeler ; fumer tue.
Jusqu’à ce jour il nous est permis de vendre tout les formats aux normes et règlements français.
Les petits formats
Appelé « regular » ou « single wide », c’est le format classique, le plus ancien, qui existait déjà avant les feuilles longues. En gros ce format fait 70×36 mm, et on le trouve chez la plus part des fabricants. Il existe une version moins large le « extra slim » faisant 28mm de large. Ces feuilles sont les plus utilisées avec le tabac à rouler.
Les formats intermédiaires
Légèrement plus grand et large, c’est le format 1 1/4, ou « format espagnol », au alentours de 75×44 mm. Il se rapproche de la taille d’une cigarette standard. Le format 1 1/2 est moins courant, il fait la même longueur que le 1 1/4 mais est plus large, aux alentours de 60 mm. Il existe également un format appelé « 84mm » : 84 mm c’est sa longueur, et sa largeur est celle du format espagnol ; 44 mm.
Les grands formats
Dans cette catégorie inventé dans les années 2000, on trouve le format « roi » des feuilles à rouler le « king size ». D’une longueur de 110 mm, on le trouve avec trois largeurs principales ; le « extra slim » 36mm, le « slim » 44 mm, et le « large » (ou « wide ») 53 mm.
Hors formats
Sans parler des rolls qui ne sont pas vraiment des « feuilles » à proprement parler, puisque c’est l’utilisateur qui détermine la longueur voulue, certains marques (RAW, ELEMENTS, JOKER) ont développé des feuilles de tailles surdimensionnées entre 15 et 30 cm de long.
Les différentes tailles des feuilles en rouleau, ou « rolls »
Les feuilles en rouleau, ou rolls, peuvent avoir plusieurs longueurs, généralement entre 3 et 5 m, et aussi différentes largeurs. Nous proposons actuellement des tailles entre 36 et 54 mm. Il existe tellement de feuilles de nos jours qu’il est sans doute possible de trouver plus étroit et plus large.
Ci dessous un comparatif de la largeur des différents rouleaux que nous proposons habituellement. (Notre offre est parfois renouvellée, et des nouveautés peuvent ne pas être présentes sur ce comparatif.)
Inhalateur, vaporisateur, vapo… Vous avez sans doute déjà entendu ces termes, mais c’est peut être pas tout à fait clair. C’est quoi ? Une cigarette électronique ? Un « e-joins » ?…
Principe de fonctionnement
L’inhalateur est un appareil permettant de chauffer des substances (plantes séchées, CBD par exemple, mais aussi des huiles, de la wax, du bho…) sans combustion, (sans les brûler) à fin d’en absorber les principes actifs sans qu’elles soient sous forme de fumée, mais en absorbant uniquement de la vapeur, sans aucune nocivité pour votre gorge et vos poumons.
Quelle est la différence entre un inhalateur et une cigarette électronique ?
Les deux appareils contiennent un dispositif de chauffage. Cependant dans la cigarette électronique il faut introduire une cartouche de liquide parfumé, avec ou sans nicotine. C’est ce produit qui est vaporisé et que vous absorbez sous forme de vapeurs.
Dans un inhalateur il faut introduire la substance que vous voulez inhaler ; plantes, concentrés, huiles. Vous n’absorberez pas de glycérol ni de propylène glycol (deux produits rentrants dans la composition des cartouches de cigarettes électronique).
L’inhalateur est la manière la plus « propre » (sans additif) de consommer une substance, puisque qu’on ne fait que légèrement la chauffer, et qu’il n’y a pas de fumée. Vous ne pouvez pas utiliser les cartouche de e-liquide dans les inhalateurs.
Qu’est ce que ça veut dire ?
Prenons l’exemple du CBD, (mais il est possible de consommer d’autres plantes comme le thym, le romarin, l’eucalyptus etc). Vous pouvez le consommer en le fumant, mais c’est nocif pour votre santé puisque cela dégage par exemple de nombreux composés cancérigènes. Le fait de brûler la substance, en atteignant son point de combustion dégage de la fumée, qui est composée de particules microscopiques et nocives qui viennent se loger dans vos poumons. Des goudrons se forment également lors de la combustion, ainsi que du monoxyde de carbone, un gaz très nocifs.
Les inhalateurs sont des appareils qui permettent de consommer sans combustion, c’est à dire sans le faire brûler (suivant les appareils il existe deux modes de chauffage la conduction et la convection, voir plus loin dans l’article) et donc sans dégager ces fumées et composés toxiques. L’appareil chauffe la substance indirectement, c’est à dire sans contacte directe avec la source de chaleur. Il s’agit donc d’un chauffage doux (typiquement la température recommandée est de 180° C) qui est suffisant pour évaporer l’humidité contenu dans la plante, ainsi que ses principes actifs, (un peu comme le ferait une tisane), et transporter ses substances sous forme de vapeur.
Avec un inhalateur donc aucune fumée. Et une autre bonne nouvelle, en plus de ne plus vous intoxiquer à cause de la fumée, vous vous apercevrez d’une chose étonnante ; le goût est beaucoup plus prononcé quand vous inhalez que quand vous fumez. En effet le chauffage important qui se produit quand la substance brûle détruit le goût qui « part en fumée ». Lors d’un chauffage plus doux, sans combustion, les arômes ne sont pas détruits par la chaleur.
Quelles sont les différences entre fumer et inhaler ?
Vous l’aurez compris le principal avantage de l’inhalation est le moindre risque pour la santé. Un inhalateur ne vous intoxiquera pas avec de la fumée, des goudrons, ou du gaz nocif.
Il y a cependant d’autres avantages. Vous ferez des économies ; en effet les inhalateurs de bonne qualité ont un système de chauffage performant qui permet d’utiliser moins de substance pour les même effets. Vous n’aurez plus à utiliser de tabac ; plus besoin d’acheter des feuilles à rouler non plus.
Les goût est plus prononcé comme déjà expliqué.
Une différence qui demande parfois un temps d’adaptation c’est… qu’il n’y a pas de fumée ! Donc au début on a un peu l’impression de tirer dans le vide ; la vapeur est moins lourde, moins dense que la fumée. Il n’y a pas besoin que l’air traverse toute la cigarette avant d’être absorbé, donc il n’y a aucun obstacle qui freine votre aspiration ; on n’a plus besoin de « tirer » sur la cigarette.
L’utilisation d’un inhalateur demande donc un petit temps d’adaptation, pour le maitriser. Vous devez vous souvenir que vous ne fumez plus du tout. Ce n’est pas la même chose. Certaines personne qui seraient accros à la cigarette peuvent être désorientées car elles ne retrouve pas les même sensations que lorsqu’elles fument.
Les inhalateurs ne sont cependant pas des substitut reconnus par les pouvoirs publiques aux cigarettes. Nous ne les recommandons pas pour arrêter de fumer. Il s’agit seulement d’une autre manière de consommer.
Convection ou conduction ?
Il existe deux modes de chauffage :
la convection : il s’agit d’un mode de chauffage directe ; la plante est en contacte direct avec l’élément de chauffe de l’appareil ; elle sera chauffer plus fortement et rapidement que par conduction. C’était le seul mode de chauffe au début des inhalateurs. Avantage : la plus part des gens trouve que le goût est plus prononcé, et la chauffe est rapide. Inconvénients : moins facile à maitriser, cette chauffe peut encrasser l’appareil et la grille qu’il contient plus rapidement et plus profondément. Il pouvait y avoir début de combustion et dégagement de fumée sur les premiers appareils, mais à l’heure actuelle ce genre de problème n’est plus rencontré. Un entretiens plus régulier et plus pousser est nécessaire pour ne pas que des odeurs et un mauvais goût ne reste.
la conduction : méthode de chauffe indirecte, la plante n’est pas en contacte avec l’élément de chauffe, et ne risque dont jamais de surchauffer et brûler. C’est un courant d’air chaud qui passe dans la substance à vaporiser qui permet d’en extraire les vapeurs et les principes actifs. La conduction permet une chauffe plus précise, et un changement de température presque instantané quand vous le désirez en cours d’inhalation. La conduction permet de ne dégager QUE de la vapeur. C’est aussi l’assurance d’une durée de vie plus longue pour votre vapo. L’entretien de l’appareil s’en trouve également facilité. C’est le mode de chauffe qui respecte le plus le produit et préféré de la plus part des utilisateurs.
Certains modèle d’appareils fonctionnent avec l’ou ou l’autre les deux méthodes. Certains fabricants ne précisent pas le mode de chauffe, et certains restent flou sur le rapport convection/conduction…
Quel modèle choisir ?
La convection demandera un broyage des plantes assez fin pour que votre expérience d’inhalation soit la plus réussie. Ce n’est pas le cas avec la conduction puisque l’air passe au sein de la plante et est en contacte avec toutes les parties de celle ci.
Les nouveaux utilisateur commencent avec les appareils à conduction. Ils sont plus facilement maitrisables et requières moins d’entretien. Les utilisateurs avancés ont tendance à préférer la convection pour le potentiel efficacité à extraire plus de goût. Tout les appareils ne fonctionnent pas pareil et ne procurent pas d’expériences d’inhalation similaires. Ainsi il est idéale de pouvoir tester et faire différentes expériences pour définir ses envies et ses besoins, et trouver l’appareil idéal.
Cependant encore une fois, les fabricants ne sont pas toujours clairs et transparents sur leur mode de chauffe…
Quelles températures utiliser ?
Pour les plantes, cela dépendra de la plante et de sont niveau de séchage. La plus part des utilisateurs chauffent au alentours de 180°. Le CBD peut être inhaler à une température légèrement inférieure ; 170°. Il vous faudra faire des essais pour trouver la température idéale pour vous, par rapport au type de plante. Si vous augmentez la températures, la vapeur sera plus dense, plus forte, plus agressive. Cela peut être nécessaire pour certaines plante un peu vielles.
Pour les huiles, il faudra utiliser des températures plus élevées, car elle sont plus dures à vaporiser.
Pour les concentrés enfin, on est souvent amener à utiliser des températures au dessus de 200°. Là aussi, suivant les produits et les appareils, leur type de chauffe, des essais seront nécessaires.
Quels sont les différents types d’inhalateurs ?
Il existe trois grandes catégories :
Les pipes/inhalateur.
Ce se sont pas vraiment des inhalateur, car le dispositif de chauffage est un briquet que vous devez maintenir à une certaine distance de la chambre d’inhalation de l’appareil. En général il s’agit d’une pipe avec une grosse chambre en forme de boule, comme dans la « eagle bill », ou les pipes à huile.
La maitrise du chauffage est aléatoire.
Les « vrais » inhalateurs.
Constitués d’un système de chauffage régulé électrique grâce à un « accu » pour les modèles nomades dans la très grande majorité des cas, (ou par le passé à gaz comme l’ancien modèle Iolite), ou à brancher sur le courant pour les modèles de salon.
Les deux grands types de « vrais » inhalateurs :
Les modèles de salon
Ce sont des modèles qui se branches directement sur le courant et qui pour la plus part vont permettre de gonfler un sac-ballon qui se place sur l’appareil. L’appareil possède une ventilation qui propulse les vapeurs en faisant gonfler le ballon. Une fois la ballon gonflé, on le retire de l’appareil puis on peut absorber les vapeurs, et partager le ballon avec une autre personne. Les appareils de salon sont plutôt fait pour être utilisés à plusieurs étant donné qu’il produisent généralement en une fois toute la vapeur, en un ballon. Le modèle le plus connu est le Volcano. C’est un appareil très haut de gamme, qui est d’ailleurs à l’origine de tout les inhalateurs. Certains autres modèles sont une alternative moins onéreuse qui gardent la fonction ballon avec un plus une fonction « tuyau souple » pour une inhalation personnelle. Il existe d’autres modèles encore, mais la plus part des gens préfère les modèles nomades.
Les modèles nomades
Ce sont les modèles les plus vendus. Ils sont petits (taille d’un smart phone) voir tout petits.
Il existe des modèles « simple », les plus abordables, avec une ou des température de chauffe pré-réglées, quoi qu’en voie de disparition de nos jours (les Da Vinci Q, ou micro restent encore basés sur ce principe un peu dépassé), puis des modèles plus performants qui permettent de faire varier la température au degré près, ce qui peut être très utile, en fonction des plantes et de leur taux d’humidité. Des plantes un peu sèches demandant une température un peu plus haute.
La plus part tiens dans une poche, sont facile à transporter, discret, et facilement rechargeables (avec parfois un chargeur ou plus pratique, dans le plus part des cas en USB, ou micro USB).
La plus part des modèles sont en métal, ou un mélange métal/plastiques. Certains anciens modèles étaient en bois comme le Magic Flight. Les modèles avec pré-réglage de température (que nous recommandons) ont un affichage soit avec des petites LED de couleurs différentes comme les DaVinci, ou dans la plus part des cas un affichage digital OLED permet la lecture de température, et des réglages.
Suivant les modèles la chambre de chauffe (partie où on met la plante) peut être plus ou moins grandes.
Certains sont dotés de tube en verre pour conduire les vapeurs, parfois en céramique, voir en plastique.
Certains modèles, comme le FlowerMate Mini ont une fonction « Powerbank » qui permet d’utiliser son vapo comme source de courant pour recharger son portable par exemple ; vous reliez votre téléphone sur le vapo avec le cordon fourni, et vous mettez le fonction powerbank en marche : le vapo se transforme en batterie de secours !
INFOS SUR LA QUALITE ET L’ORIGINE DES PRODUITS
Vous aurez compris qu’il existe beaucoup de modèles sur le marché. Nous ne les proposons pas tous, car beaucoup se ressembles, et il en sort régulièrement qui n’apporte pas grand chose de neuf.
Nous vous proposons une sélection de modèles qui ont fait leurs preuves. (mais si vous recherchez un modèle particulier que nous n’avons pas, vous pouvez nous contacter, il nous sera sans doute possible de l’obtenir pour vous).
Quel que soit votre choix, que vous achetiez chez nous ou chez un autre, attention aux modèles « premiers prix ». Sur le net vous trouverez tout à tout les prix. Nous avons sélectionné ici des modèles qui sont fiables et qui fonctionnent. Nous avons éliminé les modèle les moins fiables ; pour avoir des prix très attirants, des fabricants n’hésitent pas à équiper leur appareils avec des accus bas de gamme qui chauffent mal et ne tiennent pas la charge. De plus faites attention à l’achat « super bon plan » moins cher que partout ! Il n’y a pas de secret, si vous trouvez un modèle moitié moins cher sur un site par rapport à plein d’ autres sites, il y sans doute quelque chose de louche. Une paire de Jordans neuves à 50 euros, ça n’existe pas !
FAITES ATTENTION : un site EN français n’est pas forcément UN SITE FRANÇAIS ! Pour savoir si vous allez bien commander en France, le simple fait que le site soit en français, ne veut pas dire que vous allez commander en France ! Regardez les informations du site, comme les « conditions générales de vente » du, ou bien le paragraphe « A propos de… » que vous devez obligatoirement trouver sur les sites sérieux.
Certains sites on fait des traductions en français de leurs textes, mais, ho surprise quand on cherche un peu les infos, on s’aperçois qu’ils sont à l’étranger (Allemagne, Pays Bas, voir en dehors de l’Union Européenne). Que risquez vous ? Outre des délais de livraison rallongés, s’il vous arrive d’avoir à faire jouer les service après vente par ce que votre appareil à un soucis, il vous faudra le renvoyer dans le pays où vous l’avez acheté, avec des frais d’envois plus important qu’en France, et un délais plus long également. Si vous voulez appeler le vendeur au téléphone, parlera t il français ? Parlez vous allemand, anglais ? En achetant en France vous êtes sûr de bénéficier de la protection des consommateurs et des garanties françaises, vous êtes sûr d’avoir une notice en français, et un interlocuteur facilement joignable, et des délais plus courts que depuis l’étranger. Si votre produit vient de Chine … bon courage.
Qu’elle soit en verre, en bois, en métal, ou en acrylique, le choix d’une pipe doit se faire sur l’utilisation que vous allez en faire. Si on l’utilise à la maison, on pourra prendre une pipe en verre fin, mais pour la ballade on la prendra plus en métal, ou verre épais, en bois…
Comment choisir sa pipe ? Plusieurs choses à retenir comme la matière, la taille. Et puis la couleur et l’esthétique c’est aussi important : une jolie pipe est plus agréable qu’un vieux tromblon !
1/ Les pièces qui composent la pipe.
Plusieurs parties composent une pipe :
Il y a la cuve (foyer) :
plus il est grand, plus vous pouvez mettre de tabac dans votre pipe et fumer longtemps. Sur les cuve en métal qui ont un trou très large on trouve souvent des grilles qui permettent de ne pas « manger » de tabac en fumant. Ces grilles peuvent être achetées séparément et existent en plusieurs tailles. (petites ou medium)
Le corps :
plus il est long, plus la fumée aura le temps de se refroidir et de s’adoucir avant d’arriver à votre bouche. Plus il est petit, plus la pipe tiendra dans la poche…
Le « tirage » :
c’est l’intérieur de la pipe, plus il est large plus vous pouvez tirer facilement sur la pipe, et plus vous absorber de fumée en une fois.
Et des pièces diverses :
Certaines pipes ont un tirage ouvert, c’est à dire une « prise d’air » au bout. Elle l’est pas bouchée, et vous placez votre doigt pour fermer la pipe. Quand vous avez aspiré la fumée, vous pouvez enlevez votre doigt, en continuant à aspirer, ce qui laisse passer de l’air frais, et évacue le restant de fumée.
On trouve aussi parfois des petites pièces dans une pipe composée, comme des anneaux pour maintenir plusieurs pièces un embout pour la bouche etc… Elles sont souvent vissées et démontables.
2/ Les matériaux.
On trouve sur le marché des pipes en différents matériaux.
Le bois
Traditionnel, les pipes en bois sont souvent de forme classique, avec un foyer souvent (mais pas toujours !) démontable (vissé). Le bois est un matériau chaleureux et traditionnel. Il est agréable au touché, et dans la bouche. Cependant c’est un matériau « vivant » qui s’usera naturellement avec le temps (en prenant une certaine patine) mais qui retiendra aussi le gout et l’odeur. Le bois est sensible à l’humidité, et peux légèrement se déformer et se fendre. Cependant c’est assez rare pour une pipe. Il ne faudra cependant pas nettoyer une pipe en bois avec un liquide, même de l’eau pure.
Le verre
Les pipes en verre sont souvent les plus jolies. C’est un matériaux dont l’entretien est facile, car il ne « vieillira » pas avec le temps, contrairement au bois. Le verre ne devient pas poreux, ne se fendillera pas. Des produits comme le LIMPURO ou le BLACK LEAF BIO CLEANER seront idéaux pour l’entretien d’un pipe en verre ; un entretien régulier permettra d’éliminer les odeurs et les dépôts, salissures…
Le revers du verre… c’est qu’il casse ! Certains verres sont plus épais que d’autres. Ainsi certains bongs peuvent avoir des parois jusqu’a 9mm ! Les pipes en verre elles restent fragiles, et leur épaisseur va généralement de moins d’un millimètre, à 2 mm. Les pipes en verre sont généralement destinées à une utilisation à la maison, mais certaines petites peuvent partir avec vous en ballade, comme par exemple la « shotgun » de Black Leaf.
Le métal
Les pipes tout en métal sont les plus résistantes, et le meilleur choix en utilisation « tout terrains ». Elles sont souvent démontables, ce qui facilite leur entretien. Le métal n’est pas forcement le matériau le plus agréable en bouche, surtout pas temps froid. Elles sont souvent jolies, car le métal peut être coloré, et de formes très variées.
L’acrylique (plastique)
Les pipes en plastique sont en fait multi-matériauxcar le plastique seul ne peut pas composer une pipe à 100% carelle fondrait !
Il existe donc aussi plein de petites pipes « multi matériaux » : le corps de la pipe peut être en acrylique coloré ou transparent, et la cuve en métal, ainsi que certaines pièces comme l’embout, les anneaux d’assemblage, en métal. Ces pipes sont généralement petites à médium.
3/ La taille et la forme
Pour choisir une pipe il faut aussi penser à la taille : plus une pipe est petite plus la fumée que vous absorberez arrivera chaude dans votre bouche. Plus la pipe sera grande et longue plus elle « passera » facilement. Il faut aussi penser au « tirage » : plus l’intérieur de la pipe est étroit, plus ça sera difficile d’aspirer.
4/ Particularités.
Certaines pipes présentent des particularités ; par exemple la prise d’air dont j’ai parlé plus haut. D’autres sont « camouflées », (pipe champignon par exemple), transformables (pipes magnétiques…), on une forme spéciale comme la « eagle bill » pour l’inhalation. Certaines sont entièrement démontables ce qui facilite le nettoyage, d’autres on une pièce amovible centrale comme la pipe Popey, les pipes à refroidissement comme la pipe Black Leaf en coffret.
Il existe aussi des « pipes à eau », qui sont plus des petits bongs que des vraies pipes.
Comment entretenir sa pipe ?
Attention, une pipe sale est une pipe qu’on à pas envie de fumer ! Le goût et l’odeur peuvent vite vous dégouter de fumer. Si on veut garder ce plaisir, il faut entretenir votre pipe régulièrement.
Pour ce faire on utilise différents accessoires, et différentes méthodes en fonction du matériaux.
Pour les pipes en verre :
Comme pour les gongs, je vous recommande d’utiliser nos produits d’entretien bio. Vous plongez la pipe dans le produit dilué, vous attendez, au besoin vous passer un coup de brosse, vous rincez et hop ! C’est propre.
Pour les Pipes en métal :
Sensiblement pareil que pour les pipes en verre, en faisant attention suivant la qualité du métal et si la pipe comporte plusieurs pièces de bien sécher après rinçage.
Pour les pipes en bois :
Attention ! Le bois est un matériaux « vivant » qui craint l’humidité. Je vous déconseille d’utiliser des produits, ni même de l’eau. (Sauf pour le foyer, s’il est en métal et démontable). Utilisez un cure pipe à usage unique, et à sec. D’ailleurs pour toutes les pipes (sauf certaines spécifiques comme les « pipes USA » en verre) le cure pipe est un accessoire indispensable.
On a parfois besoin de peser précisément ses engrais en poudre, comme le Massive Bloom par exemple, qui réclame une bonne précision de dosage. Les balances de précisions sont là pour ça.
Les différents types de balances : précision et capacité.
Il existe plusieurs types de balances de précision. Certaines sont précises à 0.1 g (au « dixième » de gramme), et d’autres à 0.01 g (au « centième » de gramme). Celles à 0.01 g sont donc 10 fois plus précises que les premières. Ainsi pour un même objet pesé, sur une balance à 0.1 on verra par exemple apparaitre 12.3 g, alors que sur l’autre balance on verra 12.32 g.
Le choix dépendra donc du niveau de précision dont vous avez besoin. Une balance au dixième est souvent suffisante, par exemple pour le massive bloom.
Par contre si vous êtes amener à peser des bijoux en or, les balances à 0.01 g seront plus indiquées*.
Un autre élément à prendre en compte est ce qu’on appel la « portée » de la balance, c’est à dire le maximum que vous pouvez peser. Sur une balance avec un maximum de 100 g de portée, il ne faut pas peser 500 g sous peine de l’endommager (ce qui annule d’ailleurs la garantie de la balance). La plus part des balances pèsent entre 50 et 500 g. Certains gros modèles peuvent allez jusqu’à plusieurs kilos tout en gardant une précision de 0.1 g. Pour les balances à 0.01 g il est rare de trouver des portées supérieur à 300 ou 500 g.
La taille et la forme de la balance sont aussi importantes. Certaines sont faites pour la maison et d’autre pour être emportée avec soi. Les balances de maison sont plus volumineuses et ont un plateau plus large, ce qui permet de peser des choses plus volumineuses. Les balances nomades seront plus compactes. Certaines balances sont fournies avec un couvercle pouvant faire office de plateau.
Certaines balances sont « camouflées » ; en boitier de CD, en calculatrices, en lecteur mp3…
Il existe des balances premier prix, tout plastique (que nous ne recommandons que pour un usage modéré voir occasionnel) alors que la plus part de celles que nous vendons sont munies d’un plateau métal. Cela renforce la durée de vie et la précision.
Précautions à prendre avec les balances de précision.
Il faut être conscient que les balances de précisions sont des objets… de précision, et sont donc fragiles. Quelle que soit la qualité de votre balance elle ne supportera pas les chocs : plus fragile qu’un portable, une balance qui tombe est une balance morte ! Les vibrations, les ondes électromagnétiques sont autant de perturbations qui empêcherons une bonne précision et réduirons la durée de vie de votre balance. Les températures extrêmes (comme laisser sa balance en plein soleil l’été, dehors ou dans sa voiture) sont aussi très mauvais ! Toutes ces mauvais traitements font que votre balance ne sera plus garantie !
De même on ne doit pas surcharger une balance : c’est à dire si votre balance est faire pour peser au max 500 g et que vous mettez 1 kilo dessus ça risque de l’abimer ! Certaines balances ont une fonction automatique contre les surcharges : elles peuvent se mettre « en sécurité », et vous laisser le temps de retirer l’objet trop lourd.
Entretien des balances
Nous recommandons de les nettoyer régulièrement, notamment le plateau et les touches, pour éviter que des particules n’aillent se loger sous le plateau, ce qui fausserait la pesée.
Nous vous recommandons également de « recalibrer » régulièrement votre balance : au bout de plusieurs mois d’utilisation, la balance peut commencer à se dérégler et faire une pesée moins précise, voir fausse (quelle que soit la qualité de la balance, c’est un phénomène naturel, comme une montre qui prend du retard ou de l’avance). Chaque balance possède un mode d’emploi qui vous explique comment faire,(grace à un mode « CALIBRATION » généralement) tout en sachant cependant qu’il faut utiliser une poids de calibrage special, et pas une cigarette !
Les différentes touches d’une balance
La plus part de nos balances ont la fonction TARE qui vous permet d’éliminer le poids du plateau, la fonction MODE ou UNITS pour changer l’unité de mesure (passer du gramme à la livre anglaise par exemple). Certaines possèdent également une fonction PCS permettant de compter des objets similaires (vous mettez une pièce de 1 euro sur la balance et vous indiquez que c’est UN objet, puis vous mettez ensuite plusieurs pièces de 1 euros et la balance est capable vous dire le nombre de pièce de 1 euros. Utile pour compter le nombre de vis de la même taille que vous avez dans une boite par exemple).
De plus, suivant les balances, une combinaison de touches permet d’accéder à la fonction de calibrage de la balance (se reporter au mode d’emploi de chaque balance.)
*Attention nos balances ne sont pas des balances commerciales certifiées et ne peuvent pas servir pour des transactions commerciales !
Il existe plusieurs types de broyeurs, je vais vous expliquer comment bien le choisir en fonction de l’utilisation que vous comptez en faire.
On peut classer les grinders dans deux grandes catégories ; avec ou sans récupérateur. Il existe 3 matériaux principaux : bois, pierre et métal.
Grinders simple, sans récupérateur.
On trouve des modèle simples en plastique, en métal et en bois.
Les modèles simples sont généralement constitués de 2 parties seulement pour un broyage simple. Il peuvent être munis d’un aimant pour maintenir les deux parties, ou pas (cas des broyeur vraiment entrée de gamme)
Certains modèles simples possèdent un petit réservoir en dessous simplement pour y mettre votre tabac. Il ne s’agit pas d’un récupérateur, les deux parties ne communiquent pas.
Les modèles en plastiques peuvent être de plus ou moins bonne qualité, couleurs. Cependant leur dents en pyramide, et en plastiques ne permettent pas un broyage très performant. Ils ne broient pas vraiment mais ils arrachent plutôt. Ces grinders sont bien pour une utilisation peu intensive, en dépannage, de temps à autres.
Certains modèles simples sont en bois. Ils ont été les premiers modèles sur le marché il y a une vingtaine d’année. Ils sont généralement beaux, gravés ou non. Les dents sont des pics en métal, ce qui est déjà mieux que le plastique car on ne risque pas de retrouver des morceaux de plastique dans son mix, mais qui restent moins efficaces que les modèles avec « dents de requin » (voir plus bas). Le bois est un matériaux vivant, et avec le temps et l’humidité risque de « jouer » et se déformer légèrement, ce qui fini souvent pas empêcher les deux parties de glisser l’une sur l’autre.
D’autres modèles encore sont en pierre. Ce sont souvent des petits bijoux, plus ou moins décorés, parfait pour un cadeau. Munis de pics métal également, ils vaut mieux les garder pour une utilisation domestique, car la pierre ne supportera pas les chocs et les chutes.
Grinders à étages, grinders à récupérateur.
Les modèle avec récupérateur sont quasiment tous en métal. Il en existe en plastique, mais cela reste rare. Si vous vous orientez vers les modèles à étages (comme 80% des gens), je vous conseil les modèles en métal. Notamment la marque Black Leaf qui représente 80% de nos ventes. Ces grinders sont performants et résistants. Ils sont fait pour une utilisation intensive, et peuvent durer des années. Certains de nos clients on des modèles depuis près de dix ans !
On les appel à étages car ils sont généralement composés de 4 parties, qui forment un étage de broyage, un étage de récupération, et un étage de « filtrage ».
L’étage de broyage est muni de dents en losange, dites « dents de requin », tranchantes, qui coupent vraiment. Les deux parties qui le forme sont maintenues avec un aimant.
La base de cet étage est munie de trous qui permettent le passage du produit une fois broyé.
Vous récupérez en dessous dans le deuxième étage. Cet étage est muni d’un tamis qui permet de récupérer les plus petites particules dans le troisième étage en dessous.
Ces parties sont vissées les une aux autres.
On trouve quantité de broyeurs à étages, des plus petits au plus grand diamètres, décorés, simple, de couleur, et même des modèle haut de gamme luxe, vendus en boites comme le THORinder de chez After Grow ci dessous.
L’entretien d’un bong ou d’une pipe à eau est essentiel si on ne veut pas perdre le plaisir de fumer. En effet le tabac va laisser au fur et à mesure des utilisation des dépôts de goudron, de fumées, et d’autres substances graisseuses et résineuses qui sont vont rapidement donner très mauvais goût et odeur à vos bongs. De plus ces dépôts, mélangés à la salives et à l’humidité de l’eau d’utilisation de ces appareil, voir même parfois à l’eau stagnante que certains utilisateurs peuvent laisser, sont propices aux développement de bactéries renforçant les odeurs et la saleté. Sans entretien certaines partie de votre bang vont finir par se boucher : cuve, canule, plongeur.
Nous vous conseillons deux méthodes. Une avant l’utilisation et une après.
Méthode préventive
Vous pouvez préventivement mettre quelques gouttes d’huile de table neutre (tournesol par exemple, mais pas olive) dans l’eau de votre pipe/bong. Cette huile va avoir pour effet de venir entourer de graisse les particules de saleté et de goudron qui adhérerons beaucoup moins du coup. Ce n’est pas 100% efficace, mais ça élimine déjà pas mal le saletés, et surtout ca l’empêche de coller aux parois de votre ustensile à fumer.
L’utilisation de grilles au fond de la douille permet aussi de limiter le passage des particules sales, mais en contrepartie, empêche de « couler » la douille en cas d’utilisation « barbare » du bang. En dehors de notre pays, il semble que peux de gens « tombent » les douilles, mais préfèrent fumer doucement et lentement. De ce fait ils utilisent des grilles de différentes tailles, sur des douilles à trous larges. Cela facilite aussi l’entretiens car on a accès au plongeur avec une brosse spéciale (LIEN).
Pour les bong en verre, vous pouvez utiliser des cuves dites « ash catcher » (à récupération de cendres) (LIEN) qui retiendrons prisonnier la plus part des cendre et goudrons, en limitant grandement que le reste de l’appareil se salisse. Vous pouvez également adapter ces cuves sur les bongs en acryliques en remplaçant la cuve métal par un adaptateur (LIEN).
Fréquence d’entretien suivant les modèles et méthode curative
Vous devez aussi entretenir votre bong une fois qu’il a été utilisé. Un grand principe du nettoyage : au plus vous le faite régulièrement, idéalement après chaque soirée ou séance, au mieux ce sera facile. Plus vous allez attendre, plus la saleté va s’incruster et au plus elle sera difficile de l’enlever. Tout en sachant que tout les matériaux ne réagissent pas pareil :
Un bong en bois (bambou) :
ne devra pas être nettoyé avec une méthode humide : l’eau et les produits vont être absorbés par les parois poreuses. Outre le fait que le bambou va se fendre à la longue, les produits seront retenus et ensuite relâchés dans l’eau d’utilisation. De plus ces bongs sont des « nids à bactéries » : l’humidité de l’eau, que ce soit l’eau utilisation ou l’eau de nettoyage vont permettre le développement de bactéries très nuisible. Il faudra juste bien essuyer l’eau et les dépôts avec un chiffon, une brosse douce, le plus possible.
Un bong en acrylique (plastique)
Beaucoup plus résistant à l’eau, mais au fur et à mesure des années il va devenir poreux, surtout les modèles entrée de gamme au plastique de qualité inférieur et même avec un entretien régulier il arrivera un moment il pourra être bien de changer de bang.
Nous proposons pour cet entretiens divers produits à base de produits bio non agressifs pour l’environnement tel que le LIMPURO, notre best seller, ou encore le Black Leaf Bio Cleaner. L’utilisation de brosses (LIEN) est un très bon complément aux produits d’entretien. Cependant les brosses utilisées seule ne feront qu’étaler les graisses et les goudrons, et n’enlèveront qu’une fraction des saletés, et laisserons le goût.
Une chose intéressante avec les bongs en acrylique et autres plastiques, c’est qu’ils sont souvent entièrement démontables. Vous pouvez retirer le pieds, le plongeur, la douille et ainsi avoir accès à tout les recoins sales. A vous de choisir des bongs démontables.
Les bangs et pipes à eau en verre
Ils ont la grande qualité de ne pas s’abimer au cour du temps. (Bon sauf si vous le laisser tomber bien sûre 😉 ) Le verre ne deviendra jamais poreux, se se fendillera pas, et ne se « micro fissurera » pas. Un ustensile de ce genre bien entretenu pourra rester parfaitement propre, sans odeur et sans goût. Mais là aussi un entretien régulier est de rigueur. Surtout si votre bang est équipé d’un percolateur, l’utilisation d’un produit d’entretien est indispensable, car les brosses ne vous permettrons pas d’accéder à ce percolateur, ni même souvent à la partie réservoir du bang. Nous vous recommandons ici aussi un lavage après chaque session, ou tout du moins un trempage dans de l’eau et quelques gouttes d’un produit de nettoyage jusqu’au lendemain matin, dans une bassine, à l’horizontal à fin que le bong soit entièrement immergé et nettoyé.
La célèbre marque Black Leaf à sortie un nouveau produit surpuissant à l’automne 2019 : le « Bang Shine ». C’est un poudre à l’oxygène actif, a diluer dans l’eau chaude très efficace ! A tel point qu’il ne faut l’utiliser qu’avec les bangs et pipes en verre, et surtout pas le plastique, acrylique, et autre silicone. Cette poudre décollera les résidus les plus collants, incrustrés et tenaces ! Si limpuro et biocleaner n’y arrivent pas, passez au Bang Shine : décrassage assuré !
Ne laissez pas vos pipes à eau en fin de soirée avec l’eau de l’utilisation de la soirée dedans ! videz cette eau, et mettez le à tremper avec un peu de produit de nettoyage !
Méthodes traditionnelles et alternatives.
On peut voir sur le net beaucoup de recettes maison et autres « trucs de grand » mères (fumeuses), comme l’utilisation de produits agressifs tel que de l’alcool (ethanol), de sels chimiques, acides, et autres décapants. Ils sont souvent efficaces mais aussi dangereux à manipuler, et dangereux pour l’environnement et la santé. De plus les plastiques peuvent être abimés à cause de ces produits ; il deviennent alors plus poreux et retiennent encore plus la saleté et l’odeur. Le remède est donc pire que le mal. Nous vous déconseillons de les utiliser.
Le vinaigre d’alcool est parfait pour enlever les traces de calcaire, mais peu efficace contre les goudrons. De plus il laisse une forte odeur. Il faut alors rinser beaucoup à l’eau, ce qui rapporte des traces de calcaire. Les produits ménagers (savons, produits vaisselle, lessives) peuvent aider, mais là aussi ne sont pas parfait contre les goudrons, car à la base ils ne sont pas conçus pour ça. De plus il faudra les laisser agir assez longtemps, avec de l’eau chaude, et utilisation de brosses sera impérative.
Certains utilisent aussi des boissons gazeuses, ce qui revient cher à la longue. On pourra aussi tester bicarbonate de soude, certains en sont contents.
Enfin d’autres passent leur bangs au lave vaisselle. Efficace mais périlleux, totalement déconseillé pour le modèles en verre, (notamment avec perco, très fragiles). Egalement déconseillé pour les modèles acryliques entrée de gamme peu chers ; la chaleur excessive de l’eau va les abimer voir les déformer, la parois en plastique étant souvent fine et de qualité moyenne sur ce genre de bong entrée de gamme.
Conclusion
Rappelez vous qu’entretenir le plus régulièrement votre bang vous permettra que cette corvée reste facile ! Il faut juste un peu de motivation.
Vous pouvez vous faire votre propre opinion sur les différentes méthodes, faire vos tests, expérimenter ou tout simplement essayer nos produits qui ont fait leurs preuves et dont on ne nous dit que du bien !